J’ai rencontré Monique, nous avons fait l’amour et elle a voulu poser nue pour mon ALBUM : LA COUGAR NUE
Je lui ai dit :
– Monique, tu n’es pas une cougar ! T’es quand même un trop jeune non ?
– mon enfant, j’ai 37 ans et toi 20 ans, tu as déjà baisé avec une femme de 17 ans de plus que toi !
– hummm, d’accord enlève ton string et ton chemisier.
J’ai commencé à la shooter alors qu’elle laissait glisser sa culotte sur ses jambes. M’apparut un splendide corps de femme légèrement plantureuse. Sa poitrine merveilleuse de lourdeur sensuelle était comme un appel aux caresses de mes paluches. Mais je restais concentré sur mon job : je devais faire une série de portrait pour illustrer son profils sur un site de rencontre cougar, option sexy. Mais cette garce se tortillait et m’offrait la vision de sa chatte à la façon de Sharon Stone dans Basic Instinct.
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Quand j’ai eu fini la séance de shooting, je bandais comme un bourricot à tel point que je lui dit qu’il était pas urgent du tout de poster une annonce de plan cul, que j’allais me faire un plaisir de la baiser, la tout de suite, sur le champ. Mais j’avais à peine eu le temps de finir ma phrase qu’elle s’était déjà emparé de ma bite. Elle commença à me branler dans sa bouche sans que je sache combien de temps j’allais tenir sans décharger dans sa bouche. Elle semblait lire dans mes pensées la MILF puisqu’elle me demanda de tout lâcher, curieuse qu’elle était de connaître le goût de mon foutre …
La cougar nue est le symbole de la femme mature épanouie
Et au fur et à mesure que je photographiais son corps de rêve, mon esprit vagabondait et je me souvenais ainsi d’un voyage aux Antilles au cours duquel j’avais rencontré une cougar béké. Monique qu’elle s’appelait. Une vraie beauté mature au corps bronzé intégralement. Elle exhibait une poitrine magnifique et des pores de sa peau de blanche des Antilles transpirait une forte odeur de sexe. Une odeur de rhume et de banane. On avait passé donc de longs moments à baiser chez elle, au bord de sa piscine, sous les cocotiers. Aussi, plus j’y pense et plus je bande :
