L’autre jour, j’étais en Côte d’Ivoire pour affaires et alors qu’on venait de signer des contrats portant sur l’import de plusieurs millions ce capotes « Goût Banane », nous v’la parti en virée au Blue Coconut Club, un bar de la zone 4.
D’habitude on fête les contrats en s’entourant d’une nuées de putes noires dans la boite de nuit de l’hôtel Ivoire. Mais ce soir, mon contact voulait nous faire vivre des trucs plus « roots » comme il disait.
La cougar black est un poil plus chaudasse que la blanche
On s’installe, on commande les roteuses, on sort les habanas et voilà que les morues commencent à louvoyer autour de nous.
Tu connais l’avantage de la cougar black dans son élément ?
Moi tu me connais, je donne plutôt dans la cougar et rien qu’à l’idée de me faire reluquer le poireau par une doudou black, j’ai la bite qui commence à se transformer en poteau télégraphique. Les prostiputes se rapprochent par l’odeur des talbins alléchés et là je remarque Simone. Ou plutôt sa paire de masse d’armes, des nichebabes plutôt petits mais respire le sexe à des kilomètres à la ronde. Ou alors c’est son sexe qu’on devine sous son absence de culotte qui fait qu’il y a écrit partout autour de nous : baise-moi, donne moi ta belle queue blanche …
Simone, c’est une renoi de 38 ans à la chatte foncée et à la peau métissée. Son truc c’est le cul, mais ça, quand t’es à côté d’elle, elle a pas besoin de te faire un dessin pour que tu comprennes illico où se situent ses besoins vitaux …