La raison pour laquelle j’ai toujours envie de baiser.
L’autre jour je rentre à la maison. Je commence à poser mes affaires, mon père me prend à parti :
– pourquoi que tu t’es inscrite sur un site de liveshow pour baiser ?
– ???
– ouais me la fais pas. Pouliche_69 c’est toi, et en plus j’ai reconnu ton cul sur tes photos !
– scuse papa, mais en fait c’est parce que j’ai toujours envie baiser, qu’y m’faut des mecs pour me la fourrer tous les jours !
Tout en lui donnant ces explication foireuses, je me souviens des nuits que j’ai passé à espionner mes parents en train de baiser. Voir maman sucer le sexe de mon père, ça me donnait comme des picotements dans le bas du ventre. Et puis il y a eu cette nuit un peu folle, ou ma mère sur le dos, les genoux sur les épaules, la chatte bien ouverte se laissait pilonner par le mandrin de papa (énorme, j’aimerais bien en avoir un comme ça pour moi !)
Proverbe cévenol : inutile de résister à une envie de baiser
Ma mère poussait des cris comme quoi il fallait que papa la lui mette plus profond, plus fort, tout ça quoi !
Dans le vacarme des cris de ma mère, j’avais alors osé m’approcher de ce couple en plein furie. J’en suis restée bouche bée devant le petit trou du cul de maman qui s’ouvrait à chaque coup de bite de papa. Je mouillais comme une fontaine. Tremblante, de ma petite main d’adolescente, je me mis donc à caresser les couilles du vieux. Elles étaient dures et grosses comme des noix de Grenoble, tendues, prêtes à se vider dans le con de maman. Je restais là la main dans mon abricot trempé à me délecter du spectacle quand brusquement la bite de papa sortit au grand jour pour s’installer à l’entrée de la petite rondelle de maman; il poussa alors lentement son gros gland rouge qui s’engloutit quand la corolle de maman qui l’avala. Puis la daronne poussa un râle terrible en cambrant le dos pour qu’il l’encule complètement.
C’est ainsi que se passa mon premier contact avec la sodomie
J’étais toutes à ces pensées lubriques (sans compter maman suçant mon oncle pendant les réunions de famille) en me disant que c’était normal que moi aussi je vois du pays quand mon père exprima cette sentence définitive :
– t’es bien la même salope que ta mère espèce de morveuse !!