J’aime tes fesses … mais j’aime aussi ton cul !
Myriam marche devant moi.
Elle a une jupette à ras le bonbon qui laisse deviner un cul magnifique monté sur des tiges de 2 mètres. Ses meules ondulent nonchalamment au rythme du temps qui passe. Une brise compréhensive soulève son bout de tissu, apparaissent deux lobes ronds et fermes qui viennent s’encanailler dehors. Qui cache à peine une petite chatte imberbe dénuée du moindre soupçon de de culotte.
Et là, je sais pas pourquoi, JE BANDE !
J’ai le gourdin dur comme comme une rambarde de balcon, ma bite joue les têtes chercheuses excitée qu’elle est la garce à l’idée de faire de ce cul sa prochaine maison. J’ai beau coincer ma bite dans les jambes de mon pantalon, elle m’échappe et fait mine de mettre la tête dehors histoire de sentir les effluves moites et sucrées de cette paire de fesses.
Je m’approche ce cette garce, le regard fixe sans savoir si elle porte un string ou rien. En fait si je sais et c’est pour ça que j’ai si mal à la bite !! Faudrait pas que j’essuie un refus sans ça je répondrais plus de rien, vu que dans ces conditions mon cerveau n’a jamais le dernier mot.
Je m’en enquiert auprès de la belle. Un instant d’hésitation entre la baffe ou le coup de genou dans les roustons, elle se ravise en devinant ce qui l’attend dans mon futal, attrape ma main et la guide dans sa raie humide.
Du doigt je touche sa pastille bistre sans sentir le moindre bout de filoche, je l’enfonce légèrement sans sentir de réticence si ce n’est un petit cri de surprise.
Je lui dis : j’aime ton cul, je veux ton cul pour moi, pour ma langue et pour ma verge !